La députée du Rhône Marie-Charlotte Garin a fêté jeudi avec ses soutiens les « 1 an » de son mandat dans la Marie du 3e arrondissement. Elle est revenue sur une année « intense » tant sur le plan personnel qu’au niveau de l’actualité politique française.
Une année intense sur le plan personnel, car Marie-Charlotte Garin a « à coeur de partager (s)on temps entre Lyon et l’Assemblée nationale ». « Ça veut dire beaucoup d’aller/retour. (…) un rythme et une endurance très soutenus ».
Devant ses soutiens, la députée NUPES/EELV a évoqué la politique du gouvernement « qui a loupé le virage du parlementarisme », qui a « usé et abusé de l’autoritarisme ».
Un temps de question a ensuite été organisé. Une personne dans la salle lui a demandé comment elle voyait son futur. Ce à quoi Marie-Charlote Garin a répondu qu’elle ne savait pas qu’elle personne, elle sera dans « quatre ans ».
Pour l’occasion l’écoféministe et son équipe avaient sorti un journal disponible également en audio description revenant sur ces « 1 an de mandat ». Lors d’une précédente agora, les évènements qu’elle organise depuis sa campagne dans sa circonscription, elle nous avait confié son grand intérêt pour le journalisme et « la liberté d’expression ».
La députée du Rhône a également mis en lumière l’équipe qui l’accompagnait : Anne-Lise Meurier qui l’aide dans le travail législatif, Quentin Dagbert, qui s’occupe des relations presse ou Mélanie Adam qui se consacre à sa circonscription. Des Bénévoles ont également expliqué pourquoi ils s’étaient engagés pour soutenir la députée. À l’instar de Clara qui s’était montrée curieuse après avoir vu sur une affiche de campagne, une jeune femme de son âge.
Le lendemain, Marie-Charlotte Garin a d’ailleurs tenu à adresser ses remerciements « à toute l’équipe, aux bénévoles, militantes, militante et à toutes les personnes de près ou de loin qui contribuent à faire de ce mandat une aventure collective incroyable ».
« Nous sommes un collectif et nous avons envie qu’il s’agrandisse », affirmait-elle jeudi.
L’écologiste et son équipe ont également évoqué les projets à court terme, comme l’ouverture d’une permanence au mois de septembre, rue Rabelais, dans le 3e arrondissement de Lyon et un travail à venir sur l’implication des jeunes en politique.